Alexandre, quel est ton parcours ?
Je suis en contrat d’apprentissage dans le cadre d’un master en Gestion et Stratégie du Sport. Avant d’intégrer l’équipe G’IMPACTE, j’ai travaillé 6 mois au Decathlon de Grande-Synthe comme vendeur nautisme, en parallèle d’avoir organisé et animé leur premier Vitalsport.
Pourquoi as-tu décidé de rejoindre G’IMPACTE ?
En 2019, je cherchais une alternance dans le cadre de mon master. J’ai tout de suite été enthousiasmé par l’histoire de Positiv’ Impact qui est devenu G’IMPACTE. Je sais que je suis au bon endroit pour agir et changer le monde.
Quelle est ta mission chez G’IMPACTE ?
Je suis chef de projet. J’accompagne les entités à mesurer et améliorer leur contribution économique, environnementale et sociale, pour qu’elles puissent mettre en œuvre des projets concrets et améliorer leur impact. En interne, je travaille en collaboration avec des magasins, l’entrepôt de Lompret, des marques et des process ; en externe, avec Kiabi ou encore la Banque Solidaire de l’Equipement. J’ai aussi travaillé sur le projet d’une boutique solidaire avec l’Université Catholique de Lille. C’est un projet qui a émergé après le premier confinement, pour proposer une solution aux étudiants qui rencontrent des difficultés financières.
Peux-tu me parler d’un exemple de mission ?
En ce moment, je travaille avec Inesis Golf Park à Marcq-en-Baroeul. Nous sommes dans la phase de diagnostic de leur contribution sociale, économique et environnementale sur leur écosystème.
Nous récoltons de l’information grâce à des dizaines d’interviews de toutes les parties prenantes du territoire : collaborateurs, clients, partenaires économiques, société civile (mairie, écoles). Nous avons aussi fait une enquête auprès des clients qui a généré 400 retours. Ce sont des entretiens très ouverts et c’est l’occasion de s’exprimer sur tous les sujets. Nous étudions aussi les données du territoire de Marcq-en-Baroeul pour bien comprendre ce dernier et les comportements de sa population.
Nous produirons ensuite un rapport d’empreinte qui présentera l’analyse du contexte de l’écosystème, la matrice d’impact d’Inésis, les verbatim importants, et des recommandations adaptées aux attentes et besoins de chaque parties prenantes.
Enfin, viendront les workshops pour identifier les projets à accompagner que le site veut lancer. Mais nous n’en sommes pas encore là !
De quoi es-tu fier depuis que tu travailles chez G’IMPACTE ?
J’ai participé à toute la phase de diagnostic pour le magasin Domyos à Marcq-en-Baroeul, qui a fortement apprécié le travail fourni. Cela a été une expérience très riche. Nous avons eu 1400 réponses clients dans le cadre de notre enquête. Cela est une belle preuve d’engagement des clients, mais aussi permet d’avoir des résultats robustes.
Qu’est-ce qui te fait vibrer dans le projet G’IMPACTE ?
C’est un projet qui donne du sens à mon travail et à ma vie. Se dire que chaque jour on contribue à un changement est extrêmement positif. Lorsque je fais des interviews, une analyse de territoire ou des recommandations, je prends conscience des améliorations à apporter, j’apprends énormément aussi.
Collaborer, inclure, tout cela pour changer le monde, permet de se développer soi-même et de renforcer sa confiance en soi. Et c’est en se développant soi-même que viennent les prises de conscience et envies d’oser.
Un mot de conclusion ?
J’ai passé un bac pro et lorsque je regarde mon parcours, je suis fier d’être là où je suis aujourd’hui. G’IMPACTE m’a fait prendre conscience qu’avec de l’ouverture d’esprit et de la curiosité, chacun d’entre nous peut agir pour changer les choses.