Antoine, quel est ton parcours ?
J’ai intégré une école de commerce, l’IPAC Bachelor Factory. Je suis actuellement un master MBWay, en alternance chez G’IMAPCTE depuis le mois de septembre 2019.
Pourquoi as-tu décidé de rejoindre G’IMPACTE ?
J’ai répondu à une annonce de chargé de mission RSE. Ce mot était un peu flou pour moi à l’époque, mais je savais que je voulais contribuer à intégrer les dimensions environnementales et sociales dans l’entreprise. Et j’avais envie de diversité dans mon travail. La perspective de travailler sur des sujets variés nourrissait ma nature curieuse.
Quelle est ta mission chez G’IMPACTE ?
Je suis chef de projet. Je prends la casquette d’auditeur lorsque je participe à des diagnostics, puis celle de facilitateur quand j’anime des workshops, et enfin celle de chef de projet lorsqu’il s’agit d’accompagner la mise en œuvre des plans d’action définis en workshop.
L’année dernière j’ai surtout travaillé avec des magasins Decathlon. En 2020, j’interviens particulièrement sur deux projets externes, Leroy Merlin Neuville-en-Ferrain et la Banque Solidaire de l’Équipement qui est une filiale d’Emmaüs. Ce dernier projet est passionnant.
Peux-tu me parler d’un exemple de mission ?
Mon sujet important du moment est ma mission chez Decathlon Englos. Nous avons été contactés en septembre 2019 avec pour objectif d’accompagner cette structure à écrire sa vision à 3 ans. Nous avons organisé des workshops et déterminé des projets à mettre en place. Nous avons mené en parallèle le diagnostic avec les parties prenantes afin de nourrir ce travail de vision.
De quelle action es-tu fier depuis que tu travailles chez G’IMPACTE ?
La mission chez Decathlon Englos est pour moi une fierté pour deux raisons. D’abord parce que j’y ai participé de A à Z. J’en étais même le référent. Et ensuite, participer à l’écriture de la vision du magasin historique de Decathlon m’a procuré un grand sentiment d’utilité.
Qu’est-ce qui te fait vibrer dans le projet G’IMPACTE ?
En travaillant chez G’IMPACTE, je sais à quoi sert mon travail, et en plus cela procure de la satisfaction. Les collaborateurs qui bénéficient de l’action sont heureux car nous leur apportons du sens ; et moi, en tant que chef de projet G’IMPACTE, je suis heureux aussi de savoir que mon action a une utilité.
Il règne ensuite chez G’IMPACTE un véritable esprit start-up. Nous avançons ensemble avec l’envie d’avoir de l’impact, nous innovons.
Et enfin l’ambiance de travail est motivante, l’équipe est jeune, et nous avons tous plaisir à travailler aux côtés des uns et des autres.
Un mot de conclusion ?
J’ai le projet de fonder une famille et je ne voudrais pas que nos actions d’aujourd’hui aient un impact négatif sur le monde que nous construisons pour nos enfants. C’est maintenant qu’il faut agir pour préserver le futur. J’ai un vrai sentiment d’urgence quant à la nécessité d’avoir encore plus d’impact positif sur nos écosystèmes. Et selon moi, l’urgence se situe de manière prioritaire dans certains pays africains ou sud-américains par exemple. Nous sommes en train de tester et éprouver la méthodologie G’IMPACTE à grande échelle en France. Je voudrais contribuer à la développer à l’international.
